Première étude : glace d’eau
La première étude menée par S. Fornasier, astrophysicienne de l’Observatoire de Paris et maître de conférence à l’Université Paris Diderot met en évidence, grâce aux données du système d’imagerie OSIRIS, des variations de couleurs saisonnières et même diurnes à la surface du noyau.
Seconde étude : glace carbonique
Grâce aux données du spectro-imageur VIRTIS, une deuxième étude à laquelle ont contribué des chercheurs de l’Observatoire de Paris conclut à la toute première détection de la glace de CO2 à la surface d’un noyau cométaire.